Théocratie – un … Qu'est-ce qu'une théocratie: la définition

Le terme « théocratie » a d'abord été utilisé par l'historien romain Josephus origine juive dans le AD Ier siècle. Il a utilisé le mot dans son ouvrage « Contre Appiona », qui a soutenu avec le célèbre grammairien de cette époque. Bien que Josèphe était le Romain a déposé et a même pris son nom en l'honneur de l'empereur, il ne connaissait que la langue grecque dans laquelle il écrit et son travail.

D'où les racines étymologiques du terme. La première moitié du mot est traduit par « Dieu », le second – « modifier ». Ainsi, nous pouvons conclure que la théocratie – une forme de gouvernement où le chef suprême est à la fois l'Etat et le pouvoir religieux.

fondamentaux

Souvent, le gouverneur reçoit le statut de député de Dieu sur le territoire qu'il contrôle. Mais ce n'est pas la seule définition. Une autre interprétation du terme implique que la personne elle-même est un Dieu suprême.

Théocratie – une manière de la société médiévale ancienne et plus tard pour expliquer l'univers. Dans les vues du peuple de chaque religion a joué un grand rôle. Il était si important qu'aucune puissance n'a pas été considérée comme légitime si elle n'a pas été donné à un dieu ou panthéon de divinités dans le cas des Gentils.

Théocratie, le cléricalisme et la laïcité

Le concept de la théocratie est étroitement liée à cléricalisme. Ce mouvement politique au sein de l'État, qui vise à renforcer les droits et la valeur du clergé. En gros, la théocratie est la plus haute mesure de cléricalisme. Ce terme est souvent utilisé pour décrire dans la société moderne, par opposition aux traditions qui existaient dans l'Antiquité et le Moyen Age. cléricalisme fait aujourd'hui n'est pas tant avec l'aide d'organisations religieuses (églises, par exemple), mais par des instruments politiques – mouvements sociaux et les partis.

Contrairement à cette tendance, il y a le phénomène inverse – la laïcité. Selon ce concept, l'Etat et les organisations religieuses doivent exister isolément les uns des autres. Les principes de la laïcité dans les législations et constitutions de la pluralité d'états laïques, où il n'y a pas de religion officielle. L'un des exemples de réalisation de ce concept le plus frappant et significatif en pratique a eu lieu immédiatement après la révolution de 1917, lorsque les bolcheviks sont arrivés au pouvoir privé de la propriété de l'église et le séparer de la bureaucratie. Le fondateur de l'idée de la laïcité est considérée comme Epicure, qui, dans sa dénonciation philosophique discuter avec les ministres du culte des anciens dieux grecs.

Exemples théocraties

Première théocratie a été nommé l'état des Juifs, lorsque le terme est entré Iosif Flavy pour décrire la puissance de son peuple. Cependant, chronologiquement avant qu'elle existait monarchie à la règle religieuse. Tel était le royaume égyptien, où le titre de Pharaon signifie gouverneur Dieu sur la terre. Un principe similaire se trouve dans l'Empire romain, où les empereurs ont reconnu dieux. La plupart d'entre eux – est la monarchie du pays. La liste est longue califes islamique, qui a également considéré comme le chef de tous les musulmans sunnites.

théocratie islamique

Parmi les autres théocratie musulmane caractérisée par une attention particulière à la réalisation des lois divines. règles de la charia énoncés dans le Coran, sont obligatoires pour tout le monde. Tout d'abord, ces États ont été appelés Califat. La première a été fondée par le prophète Mahomet à VII. Après cela, ses successeurs ont étendu la puissance de l'Islam au Moyen-Orient, Afrique du Nord et même l'Espagne.

Cependant, depuis lors, il a été longtemps. Néanmoins, par exemple, en Iran et l'Arabie Saoudite a encore tous les tribunaux sur la base des lois coraniques. Les Perses sont chiites et leur chef religieux a plus de droits que le président. Par exemple, il attribue un grand nombre de ministres influents, y compris les responsables de la défense nationale.

En Arabie Saoudite, la forme politique du gouvernement est le successeur du Califat. Le monarque a le pouvoir absolu, et pour violation de la charia une personne pourrait faire face à la peine de mort.

bouddhistes

Les experts estiment souvent qu'une telle théocratie. La détermination a de nombreuses interprétations. L'un d'eux se reflète dans le bouddhisme. Exemple – organisation tibétaine centrale, qui reprend largement les caractéristiques de l'état précédent des moines tibétains. A partir du milieu du XXe siècle, son administration est en exil après l'invasion de l'Armée du Peuple chinois.

Cependant, le chef spirituel des bouddhistes tibétains – le Dalai Lama – a une grande autorité parmi ses ouailles, dispersés dans le monde entier. Les gens le considèrent comme l'incarnation de Dieu sur la terre, qui unit le système avec un Etat islamique, et d'autres.

Cité de Dieu

La tradition chrétienne a jeté les bases de la théocratie dans le traité « Cité de Dieu ». Il a été écrit au V siècle. théologien Augustin d'Hippone. Et bien qu'il n'utilise le terme lui-même dans son travail, mais il décrit le même principe par exemple. Selon lui, une théocratie – une ville de Dieu, où la vie est disposé selon la loi de l'alliance.

Ses habitants ne violent pas les commandements et vivent en harmonie. Parallèlement à cela, il y a aussi la ville de la Terre. Il est à l'opposé de son reflet de Dieu. Les lois au sein sont déterminés par les gens eux-mêmes, qui, dans une forme de fierté, ont décidé qu'ils ne pouvaient pas vivre selon la tradition chrétienne. En d'autres termes, ils avaient renoncé à Dieu. Selon Augustin, selon le choix du château après la mort de l'homme qu'il sera jugé le jour du jugement. Tous ceux qui ont renoncé aux lois du ciel, vont en enfer, alors choisi la ville de Dieu aller au ciel.

Le travail a été écrit peu de temps après Rome a été capturé et mis à sac par les Goths, qui a augmenté l'humeur fataliste de l'auteur. Il y a aussi des discussions Avreliy Avguštin sur les autorités laïques. Elle est donnée par Dieu, ce qui signifie que les gens doivent obéir. Ce principe sera utilisé par les empereurs du Saint – Empire romain quelques siècles Les.

Vatican

Contemporaine théocratie chrétienne – est le Vatican. Il est le plus petit état du monde. Il est indépendant et contrôlé par le pape, qui est considéré comme le père spirituel de tous les catholiques.

Jusqu'en 1929, à sa place était les États pontificaux, qui, dans ses meilleures années au XIXe siècle, a pris la moitié de l'Italie moderne. C'est une théocratie classique. Ce pouvoir est considéré comme de Dieu. La souveraineté sur le Vatican a défini le Saint-Siège, et qui a le pape. De plus, il est aussi le chef de l'Eglise catholique.

Pouvoir sur elle est non seulement légale, mais un dossier complet et indépendant de la volonté de tout le monde. Le pape est élu à vie par le conclave – les cardinaux réunion de l'église principale. La procédure de sélection est fixée au XIII siècle.

Histoire de la Papauté

Ce point de vue de l'ancienne forme de gouvernement. Le tableau indique au sujet de la périodisation de l'histoire de la Papauté, peut comporter plusieurs étapes. D'abord, il était à la tête des communautés fermées, où les chrétiens ont été persécutés par les Romains adoraient leur dieu, tout en sous-sol profond. Et seulement au IVe siècle , l'empereur Constantin a reconnu la religion, et papa a une influence. Toutefois, si elle appliquait seulement au troupeau. Mais avec la chute du pouvoir temporel de l'Institut l'Europe des pontifes était d'une grande importance, comme ce fut le seul titre légitime chrétien à l'époque. L'influence de la papauté étendue à tous les pays d'Europe occidentale de la monarchie. Liste des rois qui étaient considérés comme un cran en dessous du pontife, était grande – elle comprenait une douzaine de noms.

Ce fut la forme particulière du pouvoir du gouvernement. titres royaux considérés comme une faible par rapport au Pape. dirigeants européens obéirent et écouté le Saint-Père, en particulier dans le cas d'un conflit entre eux. L'influence du pape répandit dans toute l'Église sur le territoire païen, appelant leurs rois sur les croisades, dont le plus célèbre est le retour de Jérusalem terminé.

la controverse et la Réforme Investiture

Etat de l'art dans le christianisme il n'y a pas si longtemps. Avant cela, la puissance des papes a été contestée par de nombreux mouvements religieux et même dirigeants laïques. nous parlons ici principalement de la lutte pour l'investiture dans le XI – XII siècles.

Le problème concernait alors la forme de gouvernement. Tableau de la société médiévale, on peut décrire plusieurs classes: paysans, marchands, seigneurs. Ce dernier avait aussi une échelle, dont le sommet était l'empereur du Saint-Empire romain germanique (couvre principalement le territoire de l'Allemagne actuelle). Cependant, en parallèle il y avait le clergé, qui a agi au nom de Dieu. Sa tête était le pape. autorité politique récente étendue presque toute l'Italie a brisé.

Le différend entre les deux classes de la société et deux titres pour le droit d'être dominant a duré plusieurs décennies. En fait, ce fut un débat sur ce que sera l'état – laïque ou théocratique.

En fin de compte, le clergé catholique a vaincu le pouvoir impérial, mais sa domination n'a pas duré si longtemps. Depuis le début de la Renaissance et le développement de la science dans le christianisme il y avait des mouvements protestants qui nient la primauté du Pape et l'idée théocratique de l'Europe (Réforme). Après trente ans de guerre, ils ont couvert la moitié du continent. Puis la théocratie a perdu sa chance de devenir la base du pouvoir en Europe.

Théocratie en Russie

Lorsque notre pays était une monarchie, le prince ou le roi était considéré comme le représentant de Dieu (l'Oint). En même temps, il y avait un titre de patriarche, qui a ensuite été remplacé par un synode d'autorité subordonnée. Ainsi, la règle russe, mais pas directement, mais contrôlée par l'Eglise.

Au XIXe siècle, il y avait une forme politique du gouvernement a été critiqué par de nombreux penseurs et écrivains. Par exemple, l'Eglise a été critiquée par Léon Tolstoï, dont il a même été excommunié de la congrégation. Mais le philosophe Vladimir Soloviev a proposé de combiner les institutions catholiques et orthodoxes. Cela signifierait l'émergence d'une théocratie chrétienne dans le monde entier. Il rassemblerait les deux plus grande congrégation dans le monde, divisée depuis 1054.

Avec l'avènement du pouvoir soviétique il y avait une sécularisation et le rejet de l'Église de l'État. Fédération de Russie moderne est un État laïque, où il y a la liberté de religion, et aucune organisation religieuse ne dispose pas d'un statut exclusif.