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Bhakti en Inde

Bhakti comme un mouvement religieux existait depuis les temps anciens, mais le tour des siècles XIV-XV. vous remarquerez une forte augmentation de sa popularité, l'apparition d'une galaxie de prédicateurs talentueux, quelques – unes des nouvelles fonctionnalités de l'enseignement. Certes, l' islam, le soufisme en particulier, a donné une impulsion à la renaissance de la pensée sociale, en particulier religieux. Mais joué un rôle et le développement des villes, l' augmentation de la population urbaine, considérablement stimulé la formation des états musulmans, la couche supérieure des seigneurs féodaux qui avaient porté sur la vie urbaine. gens de la ville, les artisans, les commerçants et pauvres, apparemment besoin d' une idéologie, libéré des rituels stricts et l' hindouisme et de l' islam, et adressées à tous les segments de la population. Ce besoin provoque une certaine agitation dans les villes, l'émergence d'un certain nombre de musulmans, hindous sectes et sectes, unis dans ses éléments dogmatiques de l' hindouisme et de l' islam, qui a souvent conduit la révolte contre les nobles et les mollahs. Ce besoin se traduit par l'apparition dans les différentes régions de l'Inde prédicateurs de Bhakti.

Ramananda (fin XIV -. Le début du XVe siècle) a proclamé la nécessité d' une simplification du culte et l'affaiblissement des règles de caste. Son œuvre de prédication, commencée dans le sud, puis a procédé à Varanasi. Il n'a pas créé une grande école d'adeptes, mais l'un de ses élèves, un musulman Kabnr (XV c.), A développé l'enseignement et a contribué à sa propagation. La répétition et la louange au nom de Dieu, de l'un de ses noms de Kabir – la plus directe et la seule façon de connaître Dieu et de fusionner avec lui. Le respect des règles de caste et les rituels hindous et musulmans n'a pas d'importance. Continuateur des enseignements Kabnra Nanak (1469-1539) a enseigné au Pendjab. Ses disciples sikhs (étudiants) se sont ralliés à la communauté, qui était non seulement leur tête (gourou), mais leurs écritures ( « Adi Granth »), écrit spécialement inventé pour cet alphabet (gurmukhn), et même son capital (Amritsar).

Sikhisme, a enseigné que Dieu est un, n'a pas de nom et de la forme. Le monde est une lutte constante entre la lumière et le début sombre. Cette lutte se déroule dans l'âme humaine. Sikhisme reconnu l'idée hindoue du karma (rétribution des actes passés) et Samsara (réincarnation), mais il a rejeté le système des castes et proclamé non seulement l'égalité de tous devant Dieu, mais aussi l'égalité sociale sur le terrain. Le sikh a reçu l'ordre de mener, la vie professionnelle, les soins aux membres de la famille et le bien-être de toute la communauté, pour défendre leur foi première place de la communauté dans les bras. Le caractère démocratique du sikhisme a augmenté quand, après le dixième Nanak Guru Govind (1675- 1708) a supprimé le gourou Institut a remis le pouvoir à la communauté (Khalsa) généralement attribué à tous les sikhs nom Singh ( « lion ») et transformé l'ensemble du pied de guerre ua communauté.

D'autres directions Bhakti pas le même ordre de grandeur. Dans le Gujarat, au XVe siècle. était prédicateur connu Narasimha Mehta, au Cachemire – Lalla. Au Bengale et l'Orissa a enseigné Chaitanya (1486-1535). Il a parlé de l'amour et la dévotion à Dieu, l'égalité de tous devant lui, a pris à la communauté de tous – hindous et musulmans, brahmanes et intouchables. Dans le Maharashtra, l'école a mis au point dans Bhakti Pandharpur. Pour elle appartenait Dzhianeshvara et Namdev (XIII-XIV siècles.), Écran Nath et Tukaram (Les XV-XVI siècles.), Ramdas (XVII siècle.). Dans le domaine de Mathura notoriété dont elle jouit ashram (monastère) Valla- bhachari, qui appartenait à l'un des fondateurs de la poésie en hindi -Sur Das (Les XV-XVI siècles.). Suiveur de Bhakti était un grand poète et hindi Tulsi Das (1532-1624), de transmettre la langue de l'ancien poème « Ramayana ». Le Mithila a fait un autre poète remarquable Vidyapati Thakur (XV c.), Qui est considéré comme un classique mithilskoy et de la littérature bengali. Au Rajasthan, il était célèbre disciple Kabir, prédicateur Dadu (1544-1603). Fondateur de la poésie radzhastha- pas considérée comme Krishna poétesse Mirabai (XVIe siècle.). En plus des courants relativement radicaux Bhakti existe depuis plus conservateur. Celle-ci est représentée par les œuvres du poète Tulsi Das, ne pas opposé à la hiérarchie des castes donc certainement, comme beaucoup d'autres prédicateurs de Bhakti.

La synthèse du se manifeste hindous et musulmans non seulement dans le travail des poètes Bhakti. Il était aussi dans les arts – architecture, la peinture (miniature), la musique, la danse. Grand rôle dans XIV-XVI siècles. dans ce processus a été joué par les sultanats relativement faible, échappée Delhi (état Benga- Leah, Jaunpur, Gujarat, Malwa), où le rôle de l'élément étranger a été plus faible que dans la capitale de l'Inde du Nord, et où l'élite dirigeante se plus près du sommet des hindous. Dans XVII siècles XVI-. Quand les Moghols et les tribunaux ont déjà padishahs la culture hindoue a acquis une position forte.