Beatniks – il … L'aspect, la culture et la littérature de la Beat

Parfois, dans une conversation entre les gens peuvent entendre un mot comme « taille basse ». Peut-être que quelqu'un ne comprend pas le sens. En fait, les beatniks – un terme qui a été inventé pour désigner les membres d'une culture particulière. Ce mot vient de la beat generation, dont la mention est apparue dans les années 1940. Pour la première fois le terme a été proposé en 1958, cela signifiait une certaine couche sociale des jeunes du XXe siècle, qui a été caractérisée par le comportement anti-social et le rejet des valeurs culturelles traditionnelles du peuple.

Comment est-ce terme

Il est bien connu que la génération de bits (beat generation) avec l'anglais traduit par « beat generation ». Pour la première fois une telle détermination a été mentionné par Jack Kerouac. Il est considéré comme l'un des principaux chiffres de cette tendance. Selon sa théorie, cette génération de gens sont venus remplacer le précédent, qu'il a appelé « disparu ». Vous pourriez penser que le terme « beatnik » a été inventé Kerouac, mais ce n'est pas vrai. Ce mot est apparu un peu plus tard, en 1958. Il est intéressant de noter que lors de la formation du mot du suffixe a été emprunté la langue russe « -nik ». La première partie du mot, à savoir le rythme, dans l'argot des musiciens de jazz de l'époque avait une valeur de « pauvreté » et « désespoir ». Cependant, le Dzhek Keruak n'a jamais accepté le terme et n'a pas regardé très approprié.

Le mot « taille basse »

Si vous suivez la définition initiale du terme, beatniks – les jeunes avec une barbe, portant des sandales, ils peuvent souvent être vus se promener dans la ville, assis dans les cafés. Fondamentalement, ils ont décrit comme des parasites et des fans de musique de jazz. Ce terme a souvent une connotation négative, j'avais peu de valeur offensive, et dans un sens, a été considéré comme une moquerie. Ainsi, on peut dire que les beatniks – une sous-culture qui a émergé au milieu du XX siècle et se sont répandues.

Selon d'autres, le terme n'a pas la valeur exacte et servait à l'origine pour indiquer les nombreuses personnes qui ont en quelque sorte été liée à l'environnement artistique de New York. Après un certain temps, à la fin de 1950, ce terme est venu dire les jeunes qui n'ont pas eu un intérêt particulier dans le rêve américain – qui est, une carrière réussie, maison, voiture et autres objets matériels.

aspect typique de la beatnik

Comme mentionné plus haut, les beatniks – il est plutôt un mode de vie, pas même le style. Ce mode de vie signifiait un type de vêtements propres. En gros beatniks habillé très chic, ils sont immédiatement perceptibles dans une grande masse de gens. Souvent , l'apparition des représentants de cette tendance à confondre avec les élèves des académies d'art, qui étaient aussi des fans de musique de jazz.

Le sujet principal de vêtements taille basse était pull-over noir avec un col haut et un col roulé noir. Bérets étaient aussi très populaires, parfois beatniks portaient des T-shirts blancs, sans nécessairement des dessins et des inscriptions. Souvent, les représentants de cette tendance ont été avec 2 tambour (bongo). Lunettes de soleil – un autre bit direction d'attribut, ils étaient censés être impénétrables. Il y avait une coiffure particulière, au fond, ils avaient les cheveux longs jusqu'aux épaules, souvent droit. Les chaussures les plus populaires parmi les beatniks – bottes en cuir noir dans différentes variations.

Si l'on parle de vêtements pour femmes, les filles portaient principalement des bas noirs, des collants et des chandails. Aussi populaires étaient pantacourts et jupes longues, encore une fois en noir.

Les représentants les plus connus de cette tendance

Bien sûr, les représentants de cette tendance était beaucoup. Cependant, généralement considéré comme une certaine personne. Il convient de noter que la poésie Beat occupe une place centrale dans leur culture. Il est donc pas surprenant que les gens qui se tenaient à la direction du berceau peu, étaient pour la plupart des écrivains et des poètes. C'est donc 3 personnes: Lyusen Karr, Allen Ginsberg et Dzhek Keruak. Après un certain temps cette liste a réapprovisionné avec un nom de plus – Uilyam Berrouz. Il peut sembler qu'il ne joue pas un rôle important, mais son importance dans le développement de la culture de haute bits. Comme on le sait, les beatniks – il est non seulement des vêtements ou de l' apparence, il est un mode de vie et une ligne de pensée, de sa propre culture et de la poésie. Une enquête plus poussée.

« Anthologie de la poésie de la Beat »: ce qu'il est

Pendant longtemps, son existence a donné naissance à la culture bitnicheskoy nombreuses œuvres littéraires, en prose et en vers. a écrit sur le thème de ce mode de vie un ensemble de représentants de la direction de bits. Par conséquent, le livre a été publié en 2004, qui a été le premier recueil de poésie des Beats, ainsi que quelques éléments théoriques sur la direction de bits. « Anthologie de la Beat » est considéré comme la plus grande édition, qui est sorti au cours de l'existence de ce style de vie en russe. Fait intéressant, la plupart des poèmes publiés dans ce livre ont été traduits en russe pour la première fois.

Le livre contient aussi quelques croquis biographiques du célèbre écrivain et beatniks. La lecture est une grande collection de matériaux uniques, vous pouvez vraiment plonger dans la culture beatnik et comprendre les pensées et les idées étaient pertinentes pour eux, et imprégnée d'un sens de l'orientation.